Aujourd’hui, parmi les maux qui minent nos nations, figurent en bonne place le chômage et ses corollaires. Les nombreuses solutions proposées par la politique n’ont pas véritablement prospéré.

L’UPI-ONM par l’entremise de l’ORAGEU, et en continuité du social grâce auquel les frais de scolarité sont désormais quasi-inexistants propose à tout étudiant qui rentre dans le système, d’épargner progressivement une partie des frais de scolarité dont il a été allégé par la mutualisation afin de constituer un Fonds de Garantie et de Solidarité pour l’Emploi.

L’adhésion de l’étudiant est subordonnée à un cahier des charges soumis à son appréciation (lu et approuvé + signature) par l’Agence Coopérative Universitaire pour la Promotion de l’Emploi (ACUPE). Cette agence est créée par l’UPI-ONM pour favoriser l’emploi des jeunes qui ont décidé de mutualiser leurs fonds pour se faire former.

Cette agence permet de trouver des palliatifs au problème récurrent du chômage des jeunes à travers divers pôles :
1) Le pôle emploi salarial ;
2) Le pôle auto-emploi ;
3) Le pôle des emplois coopératifs ;
4) Le pôle des emplois induits par le retour de la diaspora africaine ;
5) Le pôle des emplois dans le domaine de l’assurance ;
6) Le pôle des emplois induits par la création des technopoles de montage d’ordinateurs ;
7) Le pôle des emplois induits par la création de la Banque Africaine pour la Solidarité et l’Emploi des Jeunes.

Cette disposition constitue une réponse judicieuse à la trilogie Formation – Diplôme- Emploi vers laquelle l’UPI-ONM oriente désormais ses efforts.